S'il y a un bien un titre à retenir sur le dernier album de Christina Auilera (sorti le 13 Novembre dernier), un titre qui se détache instantanément des autres, c'est celui-ci ! Produit par Alex Da Kid a qui l'ont doit en tout 7 des 16 tracks de Lotus, et co-écrit par la chanteuse et parolière Candice Pillay (qui semble être, après Skylar Grey, la nouvelle songwriter préférée du producteur puisqu'ils ont collaboré sur 6 des morceaux). Circles est pour moi le meilleur morceau de Lotus, avec l'intro éponyme (un ravissant morceau à la fois original et fidèle à la chanteuse).
Du reste, l'album est relativement décevant, notamment les premières tracks résolument orientées Pop-Dance à l'image du 1er single - un style qui ne lui correspond pas et ne rend pas justice à ses fabuleuses capacités vocales, malheureusement sous-employées la moitié de l'album.
Il faut attendre le 9ème morceau (juste après les 2 balades, moins réussies et inspirées que d'habitude car légèrement ennuyeuses) pour en avoir plus pour son argent. On a affaire là à des titres accrocheurs comme Cease Fire, Around The World, Shut Up et surtout Circles où l'on retrouve vraiment la Christina versatile de la précédente décennie ne proposant que des titres uniques, originaux, toujours différents et pourtant toujours caractéristiques d'elle-même, et évidemment superbement interprété (la preuve ici avec le bridge). On saluera donc l'excellent travail de production d'Alex Da Kid qui n'est pourtant pas réputé pour son inventivité mais plutôt pour son sens du recyclage...
Enfin, les 2 dernières tracks de l'album et les 2 premiers bonus ne sont pas marquants mais pas vraiment désagréables, juste moyens à très moyens. Cependant, rien de tout cela ne justifie le triste flop dont est victime cet album.
Il faut attendre le 9ème morceau (juste après les 2 balades, moins réussies et inspirées que d'habitude car légèrement ennuyeuses) pour en avoir plus pour son argent. On a affaire là à des titres accrocheurs comme Cease Fire, Around The World, Shut Up et surtout Circles où l'on retrouve vraiment la Christina versatile de la précédente décennie ne proposant que des titres uniques, originaux, toujours différents et pourtant toujours caractéristiques d'elle-même, et évidemment superbement interprété (la preuve ici avec le bridge). On saluera donc l'excellent travail de production d'Alex Da Kid qui n'est pourtant pas réputé pour son inventivité mais plutôt pour son sens du recyclage...
Enfin, les 2 dernières tracks de l'album et les 2 premiers bonus ne sont pas marquants mais pas vraiment désagréables, juste moyens à très moyens. Cependant, rien de tout cela ne justifie le triste flop dont est victime cet album.
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