Enfin ! L'ère Ultraviolence de Lana Del Rey est officiellement lancée avec la mise en écoute aujourd'hui du premier single, West Coast. Moins mystérieux et fascinant que les sublimes tubes qui l'ont révélés (Video Games, Blue Jeans, Born To Die...), moins accrocheur et addictif que les formidables National Anthem, Off The Race et Diet Mountain Dew, plus commun et moins original que la majorité des chansons de Born To Die, ce nouveau titre n'en est pas moins agréable et plutôt fidèle à l'univers de la chanteuse.
Il manque juste le truc. Cela viendra probablement au fil des écoutes. De toute façon, sa voix est toujours aussi belle et envoutante. Cependant et malgré sa qualité, il n'est pas dit qu'un tel titre m'aurait fait tomber sous le charme de la chanteuse et rentrer dans son univers merveilleux si c'était par ce biais qu'elle avait été introduite en 2011. C'est d'autant plus dommage qu'on s'attendait à plus percutant et plus innovant pour ce grand retour très attendu. Avis mitigé donc, même si ce n'est pas non plus une déception.
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