Encore inconnue au-delà des frontières de son pays natal, Jane Zhang est pourtant l'une des chanteuses les plus populaires de Chine. Surnommée la Princesse du Dauphin pour ses capacités vocales (qui lui ont valu des comparaisons avec Mariah Carey), elle a débuté sa carrière en 2005 grâce à sa participation au concours local Super Girl (où elle a fini 3ème). Avec à son actif 6 albums en chinois, elle entend maintenant s'attaquer au marché international. Et pour cela, elle s'est trouvé un allié de choix en la personne de Timbaland ! Le producteur star est aux manettes de son single Dust My Shoulders Off, destiné à lancer son tout premier album international.
Elle quitte son registre "Mandopop" très sucré pour quelque chose de plus accessible mondialement, chanté en anglais, mais toujours Pop qui n'est pas sans rappeler Lily Allen (ou Nelly Furtado à son heure de gloire - quand elle était produite par Timbo). La chanson est très sympa, enjouée et assez accrocheuse. Il s'en dégage une fraîcheur et un côté fun et espiègle qu'on retrouve encore plus dans le clip.
Elle quitte son registre "Mandopop" très sucré pour quelque chose de plus accessible mondialement, chanté en anglais, mais toujours Pop qui n'est pas sans rappeler Lily Allen (ou Nelly Furtado à son heure de gloire - quand elle était produite par Timbo). La chanson est très sympa, enjouée et assez accrocheuse. Il s'en dégage une fraîcheur et un côté fun et espiègle qu'on retrouve encore plus dans le clip.
En plus d'être en adéquation avec la musique, il est très divertissant et c'est un réel plaisir pour les yeux. Pas seulement parce que Jane est ravissante, mais tout simplement pour le concept de la vidéo qui en plus d'être excellent est brillamment réalisé. Ainsi, on suit la jolie chanteuse dans différentes peintures célèbres scénarisées à la mode actuelle avec des enchaînements très réussis.
Telle une Alice au Pays des Merveilles des temps modernes, elle plonge dans un univers parallèle représentant l'envers du décor d'un musée, avec comme point d'entrée Nighthawks de Hopper qui marque aussi la fin de son périple et le retour à la réalité. Au cours de ses aventures, on reconnait ainsi un autoportrait de Van Gogh, Les Glaneuses de Millet, La Jeune Fille à La Perle de Vermeer, Christina's World de Wyeth, Un dimanche après-midi à l'Île de la Grande Jatte de Seurat, Le Cri de Munch (avec une référence aux films Men In Black), La Tentation de Saint Antoine de Dali, les perspectives improbables d'Escher et Le Fils de l'Homme de Magritte.
Une vraie oeuvre d'art qui s'ancre à merveille dans la culture Pop. Jane Zhang ne pouvait pas mieux faire pour son introduction mondiale.
Et tout cela s'avère déjà payant puisqu'elle est devenue la première chanteuse de Chine à se classer dans le top 5 iTunes US.
Alors que de nombreuses coréennes sont parties à l'assaut des Etats-Unis sans parvenir à se faire une place, il se pourrait bien que ce soit une chanteuse chinoise qui soit la première asiatique à s'imposer au pays de l'Oncle Sam. On se souvient particulièrement de CL qui s'est pourtant approprié à fond la Trap Music à grand renfort de "swagg" sur l'addictif Dr. Pepper notamment, mais sans succès. Même la japonaise Utada n'a pas eu de chance malgré une petite visibilité. Entre sa musique accessible et accrocheuse, ses grandes capacités vocales, son joli minois, son physique avantageux, son style classe et glamour, et ce visuel impeccable qu'elle vient de nous offrir, Jane Zhang détient le parfait packaging pour percer dans le monde sans altérer sa popularité en Chine et réussir là où toutes les chanteuses de K-Pop ont échoué. Et c'est exactement ce qu'on lui souhaite car elle le mérite !
Telle une Alice au Pays des Merveilles des temps modernes, elle plonge dans un univers parallèle représentant l'envers du décor d'un musée, avec comme point d'entrée Nighthawks de Hopper qui marque aussi la fin de son périple et le retour à la réalité. Au cours de ses aventures, on reconnait ainsi un autoportrait de Van Gogh, Les Glaneuses de Millet, La Jeune Fille à La Perle de Vermeer, Christina's World de Wyeth, Un dimanche après-midi à l'Île de la Grande Jatte de Seurat, Le Cri de Munch (avec une référence aux films Men In Black), La Tentation de Saint Antoine de Dali, les perspectives improbables d'Escher et Le Fils de l'Homme de Magritte.
Une vraie oeuvre d'art qui s'ancre à merveille dans la culture Pop. Jane Zhang ne pouvait pas mieux faire pour son introduction mondiale.
Et tout cela s'avère déjà payant puisqu'elle est devenue la première chanteuse de Chine à se classer dans le top 5 iTunes US.
Alors que de nombreuses coréennes sont parties à l'assaut des Etats-Unis sans parvenir à se faire une place, il se pourrait bien que ce soit une chanteuse chinoise qui soit la première asiatique à s'imposer au pays de l'Oncle Sam. On se souvient particulièrement de CL qui s'est pourtant approprié à fond la Trap Music à grand renfort de "swagg" sur l'addictif Dr. Pepper notamment, mais sans succès. Même la japonaise Utada n'a pas eu de chance malgré une petite visibilité. Entre sa musique accessible et accrocheuse, ses grandes capacités vocales, son joli minois, son physique avantageux, son style classe et glamour, et ce visuel impeccable qu'elle vient de nous offrir, Jane Zhang détient le parfait packaging pour percer dans le monde sans altérer sa popularité en Chine et réussir là où toutes les chanteuses de K-Pop ont échoué. Et c'est exactement ce qu'on lui souhaite car elle le mérite !
Confirmant sa volonté de se démarquer de la C-Pop, celle qui fêté ses 32 ans en Octobre embrasse un son très actuel aux légères influences Trap Music sur son autre single, After Day. Interprété en anglais, il est pourtant réservé au marché chinois.
Il faut noter que ce n'est pas tout à fait la première fois qu'elle propose de la musique non-typée pour le marché chinois. En effet, sa première incursion sur le marché occidental remonte à l'été 2015 où elle avait été sollicitée pour faire partie de la BO de Terminator Genisys. Elle interprétait ainsi la chanson phare aux côtés du rappeur de Détroit Big Sean. Il s'agit de l'épique Fighting Shadows, complimentée par sa voix aussi puissante qu'assurée qui rend grâce à la belle mélodie et à l'instru mélancolique.
Voici un dernier son très international de la miss. Extrait de son dernier album The Seventh Sence sorti en 2014, Unwind rappelle incroyablement Christina Aguilera, tant dans le registre musical très cabaret que dans l'interprétation vocale pleine de force. Une belle réussite !
Enfin, comme le morceau ci-dessous n'est en rien représentatif de l'album dont il est extrait, ni de la carrière de celle qu'on appelle parfois Zhang Liangying, en voici un autre extrait Wo Shi Wo De. Une adorable chanson typique de Pop asiatique, sucrée et mignonne tout plein, qui respire la joie de vivre. On ne manquera pas de remarquer le réel talent vocal de son interprète.
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