Aujourd'hui, Jordin Sparks met fin à plus de 5 ans sans sortie de projet (c'était mi-2009 avec son second album Battlefield). Toujours pas de 3ème album en vue mais une mixtape de 9 titres qui saura nous combler après une si longue absence. Intitulé #ByeFelicia et présenté en exclusivité par L.A. Leakers, il marque un changement dans la carrière de la chanteuse pour prendre un tournant urbain comme jamais auparavant avec des titres à des kilomètres de la Pop et du RnB poppisé qui ont fait sa renommée.
L'exemple le plus marquant est le titre It Ain't You, ratchet à souhait, produit par nul autre que l'incontournable DJ Mustard. Jordin y est méconnaissable, tant au niveau de l'interprétation, que des paroles ou encore des sonorités. Idem sur Double Tap où elle a même recruté 2 Chainz pour un featuring. Dans le même registre, elle reprend le How Bout Now de Drake comme de nombreux artistes urbains ses dernières semaines, et en profite pour y clasher son ex Jason Derülo.
Cela dit, elle nous livre aussi des titres plus posés et R&B comme les charmants They Don't Give, Left Right ou encore l'adorable 11:11 qu'elle avait dévoilé il y a un an.
Seul bémol, les morceaux sont tous trop courts (parfois à peine une minute) et finissent systématiquement par un trop long blabla signé L.A. Leakers...
En résumé, elle propose avec #ByeFelicia une sympathique réintroduction, avec versatilité oscillant entre Slap-RnB/Ratchet-Rap pile dans la tendance du moment et R&B dans lequel on prend plaisir à la voir évoluer. Mais on attend maintenant qu'elle nous fasse entendre davantage.
L'exemple le plus marquant est le titre It Ain't You, ratchet à souhait, produit par nul autre que l'incontournable DJ Mustard. Jordin y est méconnaissable, tant au niveau de l'interprétation, que des paroles ou encore des sonorités. Idem sur Double Tap où elle a même recruté 2 Chainz pour un featuring. Dans le même registre, elle reprend le How Bout Now de Drake comme de nombreux artistes urbains ses dernières semaines, et en profite pour y clasher son ex Jason Derülo.
Cela dit, elle nous livre aussi des titres plus posés et R&B comme les charmants They Don't Give, Left Right ou encore l'adorable 11:11 qu'elle avait dévoilé il y a un an.
Seul bémol, les morceaux sont tous trop courts (parfois à peine une minute) et finissent systématiquement par un trop long blabla signé L.A. Leakers...
En résumé, elle propose avec #ByeFelicia une sympathique réintroduction, avec versatilité oscillant entre Slap-RnB/Ratchet-Rap pile dans la tendance du moment et R&B dans lequel on prend plaisir à la voir évoluer. Mais on attend maintenant qu'elle nous fasse entendre davantage.
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