Sorti le 15 Décembre 2014, le 3ème album de Nicki Minaj est certes une grande réussite de part son contenu, mais pas vraiment d'un point de vue commercial au vu de l’investissement promotionnel, comme en atteste les chiffres et le classement au Billboard.
Tout d'abord, Taylor Swift barre la route à Nicki Minaj qui doit de fait se contenter de la 2ème position, au grand désespoir de sa maison de disques. De plus, The Pinkprint douche leurs espoirs de part ses ventes : 194 000 alors qu'ils en espéraient au moins 250 000 pour rentabiliser l'énorme promotion déployée depuis des mois. En effet, le minimum était de réitérer le score de Roman Reloaded à sa sortie en Avril 2012 (voir ICI). Il aurait bien sûr été préférable de faire aussi bien que Pink Friday sorti quasiment à la même période de l'année il y a 4 ans. Elle aurait dû bénéficier à nouveau de cette période de fêtes de fin d'année toujours très propice aux ventes.
Mais son heure de gloire de 2010/2011 et le beau démarrage à 375 000 ventes sont malheureusement révolus. Malgré que Nicki soit revenue à des sonorités aussi géniales qu'à la belle époque, ses égarements intermédiaires et les calamiteux choix des 2 premiers singles ont eu raison de son beau succès, et l'érosion du marché du disque ne joue pas en sa faveur.
Heureusement qu'elle est aidée par le nouveau système de décompte du Billboard, car sans la prise en compte du streaming et des ventes digitales de tracks à l'unité (l'écoute de 1500 tracks ou le téléchargement légal de 10 tracks extraites de l'album équivalent une vente d'opus), elle n'aurait été que #3 derrière le groupe Pentatonix (203 000 ventes réelles). Cependant, en unités comptabilisés, elle atteint les 244 000 (214 000 pour eux).
Seule consolation : ça a failli être pire. En effet, les premières prévisions tablaient sur 150 000 à 160 000 ventes réelles, contre 194 000 au final.
Par ailleurs, son label pourra se féliciter du fait détienne la 2nde meilleure semaine de ventes pour artiste féminine en 2014 et du fait qu'elle ait obtenu pour la 3ème fois consécutive la première place des tops R&B/Hip-Hop Albums et Rap Albums.
La chute de popularité de la rappeuse est encore plus perceptible sur les autres continents puisque The PinkPrint n'est que #22 en Angleterre (contre #1 avec son précédent opus), #31 en Irlande (contre #2), #19 en Australie (contre #5), #25 en Nouvelle-Zélande (contre #3) et #70 en France (contre #30)...
C'est vraiment dommage au vu de la qualité de l'album qui méritait de un succès bien plus important que le très (très) décevant Roman Reloaded.
Tout d'abord, Taylor Swift barre la route à Nicki Minaj qui doit de fait se contenter de la 2ème position, au grand désespoir de sa maison de disques. De plus, The Pinkprint douche leurs espoirs de part ses ventes : 194 000 alors qu'ils en espéraient au moins 250 000 pour rentabiliser l'énorme promotion déployée depuis des mois. En effet, le minimum était de réitérer le score de Roman Reloaded à sa sortie en Avril 2012 (voir ICI). Il aurait bien sûr été préférable de faire aussi bien que Pink Friday sorti quasiment à la même période de l'année il y a 4 ans. Elle aurait dû bénéficier à nouveau de cette période de fêtes de fin d'année toujours très propice aux ventes.
Mais son heure de gloire de 2010/2011 et le beau démarrage à 375 000 ventes sont malheureusement révolus. Malgré que Nicki soit revenue à des sonorités aussi géniales qu'à la belle époque, ses égarements intermédiaires et les calamiteux choix des 2 premiers singles ont eu raison de son beau succès, et l'érosion du marché du disque ne joue pas en sa faveur.
Heureusement qu'elle est aidée par le nouveau système de décompte du Billboard, car sans la prise en compte du streaming et des ventes digitales de tracks à l'unité (l'écoute de 1500 tracks ou le téléchargement légal de 10 tracks extraites de l'album équivalent une vente d'opus), elle n'aurait été que #3 derrière le groupe Pentatonix (203 000 ventes réelles). Cependant, en unités comptabilisés, elle atteint les 244 000 (214 000 pour eux).
Seule consolation : ça a failli être pire. En effet, les premières prévisions tablaient sur 150 000 à 160 000 ventes réelles, contre 194 000 au final.
Par ailleurs, son label pourra se féliciter du fait détienne la 2nde meilleure semaine de ventes pour artiste féminine en 2014 et du fait qu'elle ait obtenu pour la 3ème fois consécutive la première place des tops R&B/Hip-Hop Albums et Rap Albums.
La chute de popularité de la rappeuse est encore plus perceptible sur les autres continents puisque The PinkPrint n'est que #22 en Angleterre (contre #1 avec son précédent opus), #31 en Irlande (contre #2), #19 en Australie (contre #5), #25 en Nouvelle-Zélande (contre #3) et #70 en France (contre #30)...
C'est vraiment dommage au vu de la qualité de l'album qui méritait de un succès bien plus important que le très (très) décevant Roman Reloaded.
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