Belle affiche pour la BO de Southpaw. Outre Eminem qui n'est plus que l'ombre de lui-même sur les deux morceaux très médiocres qu'il y a placé, on y retrouve deux sons particulièrement intéressants. D'une part un solo de 50 Cent nommé Drama Never Ends.
Fidèle à lui-même, le boss du G-Unit nous balance un son gangsta rap dans la lignée de son album Animal Ambition. Avec un flow toujours au top comme à la bonne époque, il ne perd jamais sa capacité de délivrer de bons refrains et celui-ci ne fait pas exception, même s'il n'a rien d'exceptionnel. Il a certes déjà fait mieux, mais c'est sympa d'entendre son flow sur ce genre de son, et cela se prête bien au film dans lequel il tient un rôle en tant qu'acteur.
Fidèle à lui-même, le boss du G-Unit nous balance un son gangsta rap dans la lignée de son album Animal Ambition. Avec un flow toujours au top comme à la bonne époque, il ne perd jamais sa capacité de délivrer de bons refrains et celui-ci ne fait pas exception, même s'il n'a rien d'exceptionnel. Il a certes déjà fait mieux, mais c'est sympa d'entendre son flow sur ce genre de son, et cela se prête bien au film dans lequel il tient un rôle en tant qu'acteur.
D'autre part, on a le plaisir d'y découvrir une excellente collaboration entre Action Bronson, le génial Joey Bada$$ et Rico Love. Très prometteuse, elle s'avère encore meilleure qu'espéré. C'est extrêmement agréable d'entendre la voix du talentueux chanteur/songwriter/producteur qui apporte une douce mélancolie aux refrains et au bridge - de forts jolies parties R&B qui s'intègrent à merveille sur un bon beat hip-hop. Comme souvent, Action Bronson délivre un bon couplet, mais le plus important, c'est évidemment Joey Bada$$. Surfant avec une aisance inégalée sur ce beat qui lui va comme un gant, le jeune prodige, en véritable star du morceau, éclipse ses confrères le temps d'un couplet qui a pour seul défaut d'être trop court (45 secondes).
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